Bonjour, c’est la TS ENTERTAINMENT. Nous aimerions donner notre version officielle des faits concernant les récentes déclarations et accusations faites par le rappeur SLEEPY et ainsi rétablir la vérité.
Tout d’abord, SLEEPY a affirmé recevoir 50% des bénéfices seulement dans les cas où nous collaborions avec des marques pour des publicités.
En réalité, le rappeur recevait systématiquement la moitié des bénéfices, peu importe qu’ils proviennent d’un partenariat avec une marque, d’un concert ou d’un quelconque autre événement.
Par ailleurs, en avril dernier, SLEEPY avait envoyé une lettre de plainte à notre agence à laquelle il avait joint le premier contrat que nous avions signé ensemble lorsqu’il était encore inconnu du grand public. Sur ce contrat il était déjà clairement précisé que SLEEPY recevrait 50% des bénéfices générés par n’importe quel événement ou concert auquels il participerait. Plus tard en 2008, nous avions renouvelé cette condition ensemble sans même tenir compte du fait que SLEEPY était encore débutant à l’époque (et que donc les bénéfices seraient relativement peu importants).
Ainsi, nous tenons à contester l’affirmation du rappeur qui est qu’en dehors des bénéfices générés par les publicités, les autres bénéfices étaient distribués sur la base du 9:1, c’est-à-dire 90% des bénéfices pour la compagnie et seulement 10% pour l’artiste.

En 2007, SLEEPY se préparait à débuter au sein du duo UNTOUCHABLE dans une autre agence que la nôtre. Au lancement de notre compagnie, nous avons décidé d’intégrer le duo chez nous dans l’espoir de le faire débuter. C’est pourquoi nous avons payé les frais de résiliation du contrat que les deux jeunes hommes avaient signé avec leur ancienne agence et que nous avons signé ensemble notre tout premier contrat.
En novembre 2015, la popularité de SLEEPY a considérablement augmenté après son apparition dans une émission de télévision coréenne. L’année suivante, nous avons ensemble renouvelé son contrat en apportant bien sûr quelques modifications (sous-entendu que le rappeur avait posé des conditions plus strictes compte tenu de sa popularité grandissante).
Il est évident qu’à un certain stade, la compagnie ne puisse plus prendre de décision seule et que l’avis de l’artiste doit être absolument prit en compte lui aussi. Ainsi, la distribution des revenus sur ces dernières années n’a pas lieu d’être contestée par SLEEPY puisque nous nous étions mis d’accord (sur la répartition des bénéfices).
Aussi, nous tenons à rajouter que certaines dépenses faites par la compagnie pour entretenir l’image du rappeur ne figurent pas sur le contrat et pourtant le rappeur en a bel et bien profité. Plus d’informations à ce sujet seront d’ailleurs données très prochainement.
Pendant dix ans, SLEEPY a toujours reçu un bilan détaillé de ses revenus de la part de notre responsable et était en droit de conserver des photos de ce bilan s’il le demandait. Il était aussi tenu au courant de toute modification qui pouvait être apportée à ses revenus et des causes de ces modifications.

Pour finir, la lettre de plainte qui avait été déposée par SLEEPY ne mentionnait bien évidemment pas le non-respect de la distribution des bénéfices et les accusations qu’il avait émit contre notre compagnie avaient été rejetées par le tribunal.
Sur ce, merci pour l’intérêt que vous portez à notre compagnie et pour l’amour et le soutien que vous apportez à nos artistes.
Journaliste: Plum
Source: TS Entertainment